Course à la direction du PLQ : Karl Blackburn veut s’attaquer à la bureaucratie et voir les projets économiques faire l’objet d’une décision dans un délai maximal d’un an
Montréal, 3 mai 2025 –
Karl Blackburn, candidat à la chefferie du Parti libéral du Québec, a présenté aujourd’hui sa vision économique pour le Québec, comprenant des propositions visant à faciliter le développement des projets économiques en régions comme à Montréal. Notamment, il propose d’éliminer la bureaucratie nuisible à la croissance des entreprises et, en particulier, d’accélérer les processus d’approbation des projets d’investissements qui sont aujourd’hui beaucoup trop longs.
« Le rôle de l’État dans l’économie, c’est d’abord de ne pas nuire aux entreprises et de leur offrir un environnement d’affaires prévisible et favorable à leur croissance. Le coût et la complexité de faire des affaires au Québec sont trop élevés. Le climat doit changer. Dans le contexte actuel, nous devons aligner et accélérer les multiples processus d’évaluation et d’approbation des projets. Mon ambition est que les investisseurs sachent à l’intérieur d’un an s’ils peuvent aller de l’avant ou pas avec leur projet », a déclaré Karl Blackburn.
Fort de son expérience professionnelle dans le monde des affaires, et s’inspirant de ses consultations faites dans le cadre de sa tournée des régions du Québec et des travaux des instances du PLQ, Karl Blackburn propose aux militants libéraux une vision économique en quatre grands axes :
Créer le meilleur environnement d’affaires pour la croissance économique
S’attaquer aux trois enjeux récurrents du Québec moderne : la pénurie de main-d’œuvre, la productivité et la diversification des marchés
Relancer nos politiques industrielles et le développement des régions
Assainir nos finances publiques
Le constat est clair : le Québec est actuellement sur une mauvaise trajectoire économique, résultat des choix de François Legault. Le déficit budgétaire record et la décote récente rendent le Québec vulnérable dans un contexte de guerre tarifaire et de récession économique potentielle.
« Au cours des derniers mois, je me suis senti particulièrement interpellé par l’état du Québec, par la façon dont il est gouverné, par le monde qui l’entoure et qui désormais le menace. Il nous faut une économie forte et des finances saines pour créer la richesse nécessaire pour bien soutenir nos infrastructures, nos régions et nos services publics, notamment notre système d’éducation », a soutenu Karl Blackburn.
« La relance du PLQ et du Québec passe par l’économie et le développement de toutes ses régions. Dans le monde d’aujourd’hui, il ne suffit pas de s’adapter au changement, il est essentiel de l’anticiper pour se démarquer de nos concurrents. Il nous faut un leader qui rassemble les Québécois, qui a l’expérience de l’économie, qui en fait sa priorité, et qui croit fermement aux avantages du Canada et à l’ouverture sur le monde », a conclu Karl Blackburn.
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